Intitulées « Crise écologique : pourquoi critiquer la technique aujourd’hui ? », ces rencontres auront pour objectif, dans le contexte actuel de fuite en avant technoscientifique, sur fond de crises environnementale, sociale et (géo)politique, de penser la dynamique mortifère du solutionnisme technologique contemporain et armer intellectuellement la critique.
> Ces « Rencontres technocritiques » se dérouleront en trois temps :
1. La dimension technique de la crise écologique (vendredi 23 septembre, matin)
Energie et menace de black-out, par Alain Gras
Biotechnologies et artificialisation de la nature, par Hélène Tordjman
Numérique et extractivisme, par Célia Izoard
2. Critique de la « Mégamachine » (vendredi 23 septembre, après-midi)
La « Mégamachine », par Fabian Scheidler
Contre la résilience, par Thierry Ribault
Jacques Ellul, par Jean-Luc Porquet
La colonisation des imaginaires, par Serge Latouche
3. Perspectives et luttes (samedi 24 septembre, matin)
Reprendre la terre, par Nicolas Delome de L’Atelier paysan
Les luttes au niveau international, par Morgan Ody
Autonomie et liberté, par Aurélien Berlan
> Lieu :
Faculté Jean Monnet
54 Boulevard Desgranges – 92331 SCEAUX Cedex
Salle Georges Vedel (Bâtiment G, 1er étage)
Accès : gare de Robinson (RER B)
Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles).
Pour tout renseignement complémentaire, consultez le site de Technologos et/ou contactez la rédaction de Sciences Critiques : redaction@sciences-critiques.fr.