Présentation de l’événement par Sciences Critiques :
« On n’arrête pas le progrès ! », « La technologie est neutre. Tout dépend de ce que l’on en fait ! ». De nos jours, les lieux communs concernant les nouvelles technologies et le numérique sont légion ; les réflexions critiques inexistantes – ou tout comme. Plus généralement, les développements technoscientifiques restent un impensé de notre société moderne.
Parallèlement, la technologisation, la marchandisation et, in fine, la privatisation des biens communs (l’eau, l’énergie, la santé, les savoirs, l’information, etc.) vont croissant et s’intensifiant. Or, ces processus – particulièrement à l’œuvre depuis les années 1970 – ont des impacts déterminants sur nos vies sociales et personnelles, et aboutissent, en définitive, à une « dépossession citoyenne » aussi préjudiciable à la démocratie qu’à nos conditions d’existence.
Dans ce contexte particulier – inédit dans l’Histoire –, comment mettre les technosciences en démocratie et, plus encore, défendre l’intérêt général et les biens communs ?
> En présence de :
Riccardo Petrella, économiste et politologue.
João Caraça, président du Conseil général de l’Université de Coimbra (Portugal).
Florence Piron, professeure à l’Université Laval (Canada) et présidente de l’association « Science et Bien commun ».
Jacques Testart, biologiste, « critique de sciences » et président d’honneur de l’association « Sciences citoyennes ».
Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles).
Pour tout renseignement complémentaire : redaction@sciences-critiques.fr.