
Les modifications génétiques opérées visent à les rendre résistants à des maladies virales, à tolérer des herbicides, à modifier leur taux de lignine, à accroître leur taux de croissance... Ces deux dernières modifications sont « vendues » comme des outils disponibles contre les changements climatiques (les arbres se développant plus vite, ils joueraient un rôle plus important de puits de carbone) ou contre la pollution (la fabrication de papier à partir d’arbres ayant moins de lignine est moins polluante). Des arguments qui restent à confirmer et qu’il faut mettre en balance avec le coût sociétal des plantes transgéniques.