Espace presse
Contacts à destination des journalistes
Eric MEUNIER
Biochimiste de formation, rédacteur et expert sur les questions scientifiques ainsi que sur le thème « OGM et biotechnologie au niveau communautaire ».
eric@infogm.org
Membre fondateur d’Inf’OGM, licencié en philosophie, rédacteur en chef, spécialiste du thème « forçage génétique », « faim dans le monde », « éthique », etc. et responsable « media ».
06 28 27 33 91 - 05 55 31 21 33 - noisette@infogm.org
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Frédéric PRAT
Frédéric Prat a travaillé à Inf’OGM entre 1999 et 2023. D’abord comme administrateur, puis comme salarié. Il est désormais à la retraire. Il occupait les fonctions de secrétaire de rédaction & rédacteur sur les thèmes liés à la veille semences (semences paysannes, biofortification, biopiraterie…).
infogm@infogm.org
Charlotte KRINKE
Charlotte Krinke a été embauchée à Inf’OGM une première fois de septembre 2016 à décembre 2018, puis à partir de novembre 2021 sur le poste de « rédactrice en charge des aspects juridiques ».
Elle est diplômée d’un Master 2 Droit de l’environnement, de l’aménagement et de l’urbanisme (Université de Limoges) et d’un Master 2 en Droit de l’Union européenne (Université de Strasbourg).
charlotte@infogm.org
Entre 2014 et 2021, la Commission européenne a toujours refusé que ses experts mettent en place un programme de recherche et d’expérimentation sur la détection des nouveaux OGM. Le sujet est pourtant clef : afin d’obtenir leur dérèglementation, les entreprises arguent qu’ils est impossible de les tracer.
Pourvoyeur d’informations sur les OGM, Inf’OGM se donne aussi comme mission de « pousser les pouvoirs publics à une véritable transparence de l’information ». C’est dans cette optique que nous soutenons l’appel en faveur d’une protection légale des lanceurs d’alerte. Cet appel, à l’initiative de la Maison des Lanceurs d’Alerte, est co-signé par 28 organisations.
Inf’OGM n’est pas en tant que tel un lanceur d’alerte mais nous estimons que leur rôle est fondamental dans une démocratie et nécessaire pour notre travail de journaliste. Ils révèlent des scandales et dénoncent des dysfonctionnements. Cette campagne de mobilisation vise l’adoption d’une loi qui les protège et garantit le traitement de leurs signalements.
Paris, le 24 juillet 2019 – Demain, cela fera un an, jour pour jour, que la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) jugeait que les nouvelles techniques de mutagénèse produisent bien des OGM qui devraient, par conséquent, être soumis à la réglementation OGM en vigueur. Bien qu’il s’agisse d’une décision d’application directe, elle n’est toujours pas mise en pratique dans l’Union européenne, tandis que les attaques à son encontre se multiplient.
Ce matin, le Conseil de l’Union européenne a adopté à l’unanimité un nouveau règlement relatif à la transparence et à la pérennité de l’évaluation des risques dans la chaîne alimentaire. Ce règlement, contrairement à ce que l’on pourrait croire, modifie la législation dans le mauvais sens, en augmentant la confidentialité des processus d’évaluation des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Le Commissaire européen à la santé et à la sécurité sanitaire, Vytenis Andriukaitis, a déclaré mercredi que, selon lui, « un nouveau cadre réglementaire pour les nouvelles techniques [de modification génétique] » serait à mettre en place après les élections européennes de mai 2019. Une réaction directe à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) du 25 juillet 2018 qui a jugé que les organismes issus des nouvelles techniques de mutagénèse devraient être réglementés comme les plantes transgéniques. Ces organismes sont des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Depuis une semaine, le débat sur l’innocuité des OGM est au premier plan. L’étude menée par Gilles-Eric Séralini et publiée dans la revue Food and Chemical Toxicology, a déchaîné une polémique tous azimuts. Inf’OGM ne se prononce pas sur la validité de cette étude. Inf’OGM souhaite en revanche faire le point sur certaines demandes que cette publication, et les nombreuses réactions qu’elle a provoquées, font émerger.
Dans la nuit du 14 au 15 août 2010, des Faucheurs volontaires ont arraché à Colmar un essai de l’Inra de 70 pieds de vigne, modifiés génétiquement pour résister au virus du court-noué. Pour les Faucheurs volontaires, le débat ne porte pas tant sur les modalités de mise en place des essais en champs que sur les priorités de la recherche publique et la brevetabilité du vivant. Inf’OGM a cherché à en savoir plus sur cette question des brevets.